Les Marionnettes de l’Apocalypse : Syrie, Terre de Calculs et de Désolations
Les Chimères de la Géopolitique : Quand les Titans Jouent avec le Feu
Rappelons le contexte : « États-Unis, Israël, Russie, Turquie : tout sur leurs calculs autour de la Syrie. Le spectre de la guerre se déplace et s’étend, de Gaza au Liban, du Liban en Iran, et maintenant voilà que l’histoire se précipite en Syrie. » C’est dans ce chaos que nous nous trouvons, un chaos qui n’est pas nouveau mais qui se réinvente sans cesse, comme une tragédie grecque où les dieux se disputent les faveurs des mortels.
L’histoire de la pensée nous enseigne que les conflits sont souvent le reflet des luttes intestines des puissances. De Thucydide à Hannah Arendt, les penseurs ont toujours souligné l’absurdité des guerres, leur caractère inhumain et leur incapacité à résoudre les problèmes fondamentaux. « La guerre est la continuation de la politique par d’autres moyens, » disait Clausewitz. Mais quelle politique peut justifier la désolation de peuples entiers ?
L’histoire de l’art, quant à elle, nous offre des visions apocalyptiques qui résonnent avec notre époque. Les tableaux de Jérôme Bosch, avec leurs scènes de chaos et de désolation, semblent préfigurer les horreurs contemporaines. Picasso, avec son « Guernica », nous rappelle que l’art peut être un cri de révolte face à la barbarie.
La Question Clé : Qui Tire les Ficelles de l’Enfer Syrien ?
Les États-Unis, avec leur impérialisme décomplexé, jouent les gendarmes du monde, imposant leur vision d’un ordre mondial qui ne profite qu’à eux. Israël, avec sa politique de colonisation et de répression, s’érige en bastion de la démocratie tout en bafouant les droits les plus élémentaires. La Russie, avec son nationalisme exacerbé, cherche à retrouver sa grandeur passée en sacrifiant des vies humaines. La Turquie, avec ses ambitions néo-ottomanes, joue un double jeu dangereux, tantôt alliée, tantôt ennemie.
Mais qui sont les véritables victimes de ce jeu macabre ? Les Syriens, bien sûr, mais aussi tous ceux qui, de Gaza au Liban, en passant par l’Iran, subissent les conséquences de ces calculs géopolitiques. Les exemples historiques ne manquent pas : de la guerre froide aux conflits post-coloniales, les puissances ont toujours sacrifié les peuples sur l’autel de leurs intérêts.
L’Appel à l’Insurrection Humaniste
Alors, chers lecteurs, il est temps de s’insurger ! De dire non à cette mascarade, de refuser d’être les complices de ces crimes contre l’humanité. Il est temps de poser les questions qui fâchent, de remettre en cause les discours officiels, de dénoncer les hypocrisies. Voici dix questions à se poser pour être humaniste face à ce thème :
1. Pourquoi acceptons-nous que des puissances étrangères décident du destin de peuples entiers ?
2. Comment pouvons-nous justifier les interventions militaires sous prétexte de démocratie ?
3. Quelle est la responsabilité des médias dans la propagation de la désinformation ?
4. Comment lutter contre le nationalisme et l’impérialisme qui alimentent ces conflits ?
5. Quel rôle jouent les grandes entreprises et les lobbies dans ces jeux de pouvoir ?
6. Comment soutenir les mouvements de résistance pacifique dans les zones de conflit ?
7. Quelle est la responsabilité des citoyens des pays impliqués dans ces conflits ?
8. Comment promouvoir une culture de la paix et de la coopération internationale ?
9. Quel est le rôle des organisations internationales dans la résolution de ces conflits ?
10. Comment construire un monde où les intérêts des peuples priment sur ceux des puissances ?
En conclusion, il est temps de reprendre le contrôle de notre destinée, de refuser d’être les pantins de ces marionnettes de l’apocalypse. Il est temps de dire non à la guerre, non à l’impérialisme, non à la barbarie. Il est temps de choisir l’humanisme, la justice, la paix. Car, comme le disait Albert Camus, « La révolte est le fait de l’homme qui dit non. »