Les Ruines de Mayotte : Chronique d’un Exil Intérieur
À Mayotte, les «bangas» des bidonvilles, ces misérables abris de tôle ondulée, se sont effondrés sous le souffle impitoyable du cyclone Chido, laissant derrière eux des montagnes de débris, des vies brisées, des rêves éparpillés comme des éclats de verre. Dans ces conditions d’habitat indignes, où 40% de la population survit, se pose la question de la reconstruction, une question qui réclame une réponse urgente, une réponse qui ne peut être que radicale, humaine, empreinte de justice sociale.
Les tôles ondulées, ces lames de métal rouillées par le sel et le temps, ne sont pas seulement des toits, elles sont des cris silencieux, des appels à l’aide qui se perdent dans le vent. Elles sont le symbole d’un système qui a failli, d’une société qui a oublié ses enfants les plus fragiles, les plus exposés. Ces bidonvilles, ces lieux de non-droit, sont des plaies ouvertes sur le corps de Mayotte, des stigmates de l’injustice, de l’inégalité, de l’indifférence.
Penser une autre forme d’habitat, c’est penser une autre forme de société, une société où chaque homme, chaque femme, chaque enfant a droit à un toit décent, à un abri qui protège non seulement des intempéries, mais aussi de l’indignité, de l’humiliation. C’est penser une architecture résiliente, une architecture qui résiste aux cyclones, mais aussi aux tempêtes de la vie, aux ouragans de la misère, aux typhons de l’injustice.
Une architecture résiliente réclame des moyens, des moyens financiers, mais aussi des moyens humains, des moyens politiques. Elle réclame une volonté politique, une volonté de changer les choses, de transformer les ruines en espaces de vie, de transformer les bidonvilles en quartiers dignes, en lieux de vie, de partage, de solidarité.
À Mayotte, la reconstruction ne peut être qu’un acte de résistance, un acte de rébellion contre l’injustice, contre l’indifférence, contre l’oubli. Elle doit être un acte de solidarité, un acte de fraternité, un acte d’amour. Elle doit être un acte de foi en l’humanité, en sa capacité à se relever, à se reconstruire, à renaître de ses cendres.
Dans les décombres des «bangas», dans les ruines des bidonvilles, il y a une lumière, une lumière qui brille, fragile mais tenace, la lumière de l’espoir, la lumière de la résistance, la lumière de la vie. Cette lumière, il faut la protéger, la nourrir, la faire grandir, la faire briller plus fort, plus haut, plus loin. Il faut la transformer en flamme, en brasier, en incendie de justice, de dignité, de liberté.
À Mayotte, penser d’urgence une autre forme d’habitat, c’est penser d’urgence une autre forme de vie, une vie où chaque être humain a sa place, sa dignité, sa liberté. C’est penser d’urgence une autre forme de société, une société où l’indignité n’a pas sa place, où l’injustice n’a pas sa place, où l’oubli n’a pas sa place. C’est penser d’urgence une autre forme de monde, un monde où chaque être humain est reconnu, respecté, aimé.
Dans les ruines de Mayotte, dans les décombres des «bangas», il y a un cri, un cri de douleur, mais aussi un cri de résistance, un cri de vie, un cri d’espoir. Ce cri, il faut l’entendre, il faut l’écouter, il faut y répondre. Il faut le transformer en chant, en hymne, en symphonie de justice, de dignité, de liberté. Il faut le transformer en acte, en geste, en mouvement de solidarité, de fraternité, d’amour.
À Mayotte, la reconstruction ne peut être qu’un acte de foi en l’humanité, en sa capacité à se relever, à se reconstruire, à renaître de ses cendres. C’est un acte de résistance, un acte de rébellion, un acte de solidarité, un acte de fraternité, un acte d’amour. C’est un acte de vie, un acte d’espoir, un acte de lumière dans les ténèbres de l’injustice, de l’indifférence, de l’oubli.
Dans les ruines de Mayotte, dans les décombres des «bangas», il y a une promesse, une promesse de vie, de dignité, de liberté. Cette promesse, il faut la tenir, il faut la réaliser, il faut la transformer en réalité. Il faut la transformer en acte, en geste, en mouvement de solidarité, de fraternité, d’amour. Il faut la transformer en chant, en hymne, en symphonie de justice, de dignité, de liberté. Il faut la transformer en lumière, en flamme, en brasier de vie, de résistance, d’espoir.
À Mayotte, penser d’urgence une autre forme d’habitat, c’est penser d’urgence une autre forme de vie, une vie où chaque être humain a sa place, sa dignité, sa liberté. C’est penser d’urgence une autre forme de société, une société où l’indignité n’a pas sa place, où l’injustice n’a pas sa place, où l’oubli n’a pas sa place. C’est penser d’urgence une autre forme de monde, un monde où chaque être humain est reconnu, respecté, aimé. C’est penser d’urgence une autre forme de lumière, une lumière qui brille, fragile mais tenace, la lumière de l’espoir, la lumière de la résistance, la lumière de la vie.
Dans les ruines de Mayotte, dans les décombres des «bangas», il y a un cri, un cri de douleur, mais aussi un cri de résistance, un cri de vie, un cri d’espoir. Ce cri, il faut l’entendre, il faut l’écouter, il faut y répondre. Il faut le transformer en chant, en hymne, en symphonie de justice, de dignité, de liberté. Il faut le transformer en acte, en geste, en mouvement de solidarité, de fraternité, d’amour. Il faut le transformer en lumière, en flamme, en brasier de vie, de résistance, d’espoir. Il faut le transformer en promesse, en réalité, en avenir. Il faut le transformer en vie, en dignité, en liberté. Il faut le transformer en lumière, en flamme, en brasier de vie, de résistance, d’espoir.