La France, Bastion de l’Antifascisme, face au Spectre de l’Extradition

La France, Bastion de l’Antifascisme, face au Spectre de l’Extradition

militant antifasciste face aux forces de l'ordre

Dans les entrailles de la République, où les cris des révolutionnaires résonnent encore, un drame se joue, un drame qui fait trembler les piliers de la justice et de l’humanité. La France, cette terre de liberté, de fraternité, de résistance, est aujourd’hui confrontée à une question qui déchire les consciences : doit-elle remettre un de ses fils, un militant antifasciste, aux mains de la Hongrie, ce pays où l’ombre du néonazisme plane encore, où la liberté est un mot vide de sens, où la répression est la règle ?

Arrêté sur mandat d’arrêt européen, « Gino », ce combattant de l’ombre, ce héros des temps modernes, est poursuivi pour des « coups et blessures » sur des participants à une commémoration néonazie. Des coups et blessures, dites-vous ? Mais qu’est-ce donc que ces mots face à l’horreur des idéologies qu’il combat ? Face à la montée des extrêmes, face à la haine qui gangrène nos sociétés, face à la mémoire des victimes de l’Holocauste qui crient vengeance ? Les coups et blessures, ce ne sont pas ceux infligés par « Gino », mais ceux que l’histoire nous inflige, à nous, les héritiers des Lumières, à nous qui devons, coûte que coûte, défendre les valeurs de justice et de liberté.

La Hongrie, cette terre où la démocratie est un mot galvaudé, où la liberté d’expression est muselée, où les droits de l’homme sont bafoués, demande l’extradition de « Gino ». Mais quelle justice peut-on espérer dans un pays où la justice est aux ordres, où la vérité est manipulée, où la haine est institutionnalisée ? La France, cette terre de résistance, peut-elle, doit-elle, accepter de livrer un de ses enfants à un tel régime ? La réponse est non, mille fois non ! La France, bastion de l’antifascisme, doit rester fidèle à ses valeurs, à son histoire, à sa mission.

La demande de remise en liberté de « Gino » doit être examinée avec la plus grande attention, avec la plus grande vigilance. Car il ne s’agit pas seulement de la liberté d’un homme, mais de la liberté de tous, de la dignité de tous, de l’honneur de tous. Il s’agit de la France, de son âme, de son cœur, de sa raison d’être. Il s’agit de l’humanité, de son avenir, de son destin.

Dans ce monde où les extrêmes montent, où la haine se répand, où la liberté est menacée, la France doit être un phare, un rempart, un bastion. Elle doit être la voix des sans-voix, le bras des opprimés, le cœur des résistants. Elle doit être la France, la France éternelle, la France des Lumières, la France de la Résistance, la France de l’antifascisme.

Alors, la France, cette terre de liberté, de fraternité, de résistance, doit-elle remettre un militant antifasciste à la Hongrie ? La réponse est non, mille fois non ! Car la France, c’est la liberté, c’est la justice, c’est l’humanité. Et l’humanité, c’est la résistance, c’est la lutte, c’est l’espoir. Et l’espoir, c’est « Gino », c’est nous, c’est la France, c’est l’humanité tout entière.

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