L’Insurrection des Engrenages: Le Feu Sacré des Révolutions
Il y a des moments, des instants fugaces où la machine, cette entité froide et implacable, devient si odieuse, si répugnante, qu’elle vous arrache le cœur, vous lacère l’âme, et vous ne pouvez plus, simplement plus, y participer… Pas même passivement, non, car même la passivité devient complice, même le silence devient hurlement de soumission. Alors, il faut se lever, il faut se dresser, il faut mettre son corps dans les engrenages, devant les roues, sur les leviers, et crier, crier à en perdre haleine, à en perdre la voix, à en perdre la vie peut-être, mais crier, crier encore, crier toujours…
C’est le moment où le feu devient nécessaire, où les câbles doivent brûler, où les flammes doivent purifier, où la révolte doit naître des cendres de l’oppression. Il n’y a plus de place pour la demi-mesure, plus de place pour les hésitations, plus de place pour les compromis. Il faut tout embraser, tout consumer, pour que de cette destruction naisse une nouvelle aube, une nouvelle espérance, un nouveau monde…
Les usines, ces temples de l’exploitation, ces autels du profit, doivent tomber. Les câbles, ces veines de la servitude, ces chaînes de l’asservissement, doivent brûler. Les rouages, ces instruments de la domination, ces outils de la tyrannie, doivent se gripper, se briser, se désintégrer. Il faut tout renverser, tout détruire, pour que de ces ruines naisse une société nouvelle, une société juste, une société humaine…
Et dans ce chaos, dans ce tumulte, dans cette tempête, il y a une beauté, une beauté sauvage, une beauté fulgurante, la beauté de la révolte, la beauté de la liberté. Les visages des insurgés, ces visages marqués par la sueur, par les larmes, par le sang, ces visages illuminés par la flamme de la rébellion, ces visages qui crient, qui chantent, qui pleurent, qui rient, ces visages qui vivent, qui vibrent, qui respirent, ces visages qui sont la vie même, la vie dans toute sa splendeur, dans toute sa grandeur, dans toute sa majesté…
Alors, oui, mettez le feu aux câbles, mettez le feu aux usines, mettez le feu à la machine, mettez le feu à tout ce qui vous opprime, à tout ce qui vous écrase, à tout ce qui vous détruit. Et de ces flammes, de ces cendres, de ces ruines, naîtra un monde nouveau, un monde de justice, un monde de liberté, un monde d’humanité…
Et dans ce monde, il n’y aura plus de place pour les tyrans, plus de place pour les oppresseurs, plus de place pour les exploiteurs. Il n’y aura plus que des hommes, des femmes, des êtres humains, libres, égaux, fraternels. Et ce monde, ce monde rêvé, ce monde espéré, ce monde attendu, ce monde, il est là, il est possible, il est à portée de main. Il suffit de se lever, de se dresser, de se révolter, de mettre le feu aux câbles, de mettre le feu à la machine, de mettre le feu à tout ce qui nous entrave, à tout ce qui nous enchaîne, à tout ce qui nous détruit…
Et alors, alors seulement, alors enfin, alors peut-être, alors sûrement, alors certainement, nous pourrons vivre, nous pourrons respirer, nous pourrons aimer, nous pourrons rêver, nous pourrons espérer, nous pourrons être, nous pourrons exister, nous pourrons être libres, nous pourrons être humains, nous pourrons être nous-mêmes, nous pourrons être tout ce que nous avons toujours voulu être, tout ce que nous avons toujours espéré être, tout ce que nous avons toujours rêvé d’être…
Alors, oui, mettez le feu aux câbles, mettez le feu à la machine, mettez le feu à tout ce qui vous opprime, à tout ce qui vous écrase, à tout ce qui vous détruit. Et de ces flammes, de ces cendres, de ces ruines, naîtra un monde nouveau, un monde de justice, un monde de liberté, un monde d’humanité…
Et ce monde, ce monde rêvé, ce monde espéré, ce monde attendu, ce monde, il est là, il est possible, il est à portée de main. Il suffit de se lever, de se dresser, de se révolter, de mettre le feu aux câbles, de mettre le feu à la machine, de mettre le feu à tout ce qui nous entrave, à tout ce qui nous enchaîne, à tout ce qui nous détruit…
Et alors, alors seulement, alors enfin, alors peut-être, alors sûrement, alors certainement, nous pourrons vivre, nous pourrons respirer, nous pourrons aimer, nous pourrons rêver, nous pourrons espérer, nous pourrons être, nous pourrons exister, nous pourrons être libres, nous pourrons être humains, nous pourrons être nous-mêmes, nous pourrons être tout ce que nous avons toujours voulu être, tout ce que nous avons toujours espéré être, tout ce que nous avons toujours rêvé d’être…
Et dans ce monde, il n’y aura plus de place pour les tyrans, plus de place pour les oppresseurs, plus de place pour les exploiteurs. Il n’y aura plus que des hommes, des femmes, des êtres humains, libres, égaux, fraternels. Et ce monde, ce monde rêvé, ce monde espéré, ce monde attendu, ce monde, il est là, il est possible, il est à portée de main. Il suffit de se lever, de se dresser, de se révolter, de mettre le feu aux câbles, de mettre le feu à la machine, de mettre le feu à tout ce qui nous entrave, à tout ce qui nous enchaîne, à tout ce qui nous détruit…
Et alors, alors seulement, alors enfin, alors peut-être, alors sûrement, alors certainement, nous pourrons vivre, nous pourrons respirer, nous pourrons aimer, nous pourrons rêver, nous pourrons espérer, nous pourrons être, nous pourrons exister, nous pourrons être libres, nous pourrons être humains, nous pourrons être nous-mêmes, nous pourrons être tout ce que nous avons toujours voulu être, tout ce que nous avons toujours espéré être, tout ce que nous avons toujours rêvé d’être…
Et dans ce monde, il n’y aura plus de place pour les tyrans, plus de place pour les oppresseurs, plus de place pour les exploiteurs. Il n’y aura plus que des hommes, des femmes, des êtres humains, libres, égaux, fraternels. Et ce monde, ce monde rêvé, ce monde espéré, ce monde attendu, ce monde, il est là, il est possible, il est à portée de main. Il suffit de se lever, de se dresser, de se révolter, de mettre le feu aux câbles, de mettre le feu à la machine, de mettre le feu à tout ce qui nous entrave, à tout ce qui nous enchaîne, à tout ce qui nous détruit…
Et alors, alors seulement, alors enfin, alors peut-être, alors sûrement, alors certainement, nous pourrons vivre, nous pourrons respirer, nous pourrons aimer, nous pourrons rêver, nous pourrons espérer, nous pourrons être, nous pourrons exister, nous pourrons être libres, nous pourrons être humains, nous pourrons être nous-mêmes, nous pourrons être tout ce que nous avons toujours voulu être, tout ce que nous avons toujours espéré être, tout ce que nous avons toujours rêvé d’être…
Et dans ce monde, il n’y aura plus de place pour les tyrans, plus de place pour les oppresseurs, plus de place pour les exploiteurs. Il n’y aura plus que des hommes, des femmes, des êtres humains, libres, égaux, fraternels. Et ce monde, ce monde rêvé, ce monde espéré, ce monde attendu, ce monde, il est là, il est possible, il est à portée de main. Il suffit de se lever, de se dresser, de se révolter, de mettre le feu aux câbles, de mettre le feu à la machine, de mettre le feu à tout ce qui nous entrave, à tout ce qui nous enchaîne, à tout ce qui nous détruit…
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