La Clameur des Âmes Enchaînées : Le Cri pour la Libération de Georges Abdallah

La Clameur des Âmes Enchaînées : Le Cri pour la Libération de Georges Abdallah

une foule de personnes dans une manifestation pour la liberté et la justice

Dans les entrailles de ce monde où les ombres s’étirent, où les cris des opprimés se perdent dans le vent glacial de l’indifférence, une clameur s’élève, une tribune, un cri de ralliement, une supplique pour la justice, pour la libération d’un homme, Georges Abdallah, emprisonné depuis des décennies, un symbole vivant de la lutte, un martyr de la cause palestinienne, un communiste libanais, un être humain, tout simplement, broyé par les rouages d’un système qui se prétend juste mais qui, en réalité, n’est qu’un théâtre d’ombres et de mensonges…

Près de 300 personnalités, des artistes, des intellectuels, des âmes sensibles, des cœurs battants, se sont rassemblés pour signer une tribune, une lettre ouverte, un manifeste pour la liberté, pour dire non à l’injustice, pour exiger la libération immédiate de cet homme qui, depuis 1984, croupit dans les geôles françaises, alors qu’il est libérable depuis 1999, une absurdité, une aberration, une honte pour une nation qui se targue de défendre les droits de l’homme…

Les murs de la prison, froids et impersonnels, suintent de désespoir, de solitude, de rêves brisés, de vies volées, de cris étouffés, de larmes versées en silence, dans l’obscurité, dans l’oubli, dans l’indifférence, et pourtant, dans cette nuit sans fin, une lueur d’espoir, une étincelle de révolte, une flamme de résistance, une voix qui s’élève, qui refuse de se taire, qui refuse de se soumettre, qui refuse de se résigner, qui appelle à la solidarité, à la fraternité, à la justice, à la liberté…

Ce cri, ce cri de révolte, ce cri de justice, ce cri de liberté, c’est le cri de Georges Abdallah, c’est le cri de tous les opprimés, de tous les oubliés, de tous les invisibles, de tous ceux qui luttent, qui résistent, qui se battent pour un monde meilleur, pour un monde plus juste, pour un monde plus humain, un monde où la liberté, l’égalité, la fraternité ne seraient pas des mots vides de sens, mais des réalités tangibles, des valeurs vécues, des principes incarnés…

Et face à ce cri, face à cette clameur, face à cette tribune, face à cette supplique, que reste-t-il à faire, sinon se lever, sinon se battre, sinon résister, sinon lutter, sinon exiger, sinon réclamer, sinon hurler, sinon crier, sinon chanter, sinon danser, sinon vivre, sinon aimer, sinon espérer, sinon rêver, sinon croire, sinon agir, sinon être, sinon exister, sinon respirer, sinon vibrer, sinon sentir, sinon toucher, sinon voir, sinon entendre, sinon goûter, sinon ressentir, sinon être humain, tout simplement…

Dans ce monde où les ombres s’étirent, où les cris des opprimés se perdent dans le vent glacial de l’indifférence, une clameur s’élève, une tribune, un cri de ralliement, une supplique pour la justice, pour la libération de Georges Abdallah, un symbole vivant de la lutte, un martyr de la cause palestinienne, un communiste libanais, un être humain, tout simplement, broyé par les rouages d’un système qui se prétend juste mais qui, en réalité, n’est qu’un théâtre d’ombres et de mensonges… Et dans ce cri, dans cette clameur, dans cette tribune, dans cette supplique, il y a tout l’espoir, toute la révolte, toute la résistance, toute la vie, toute l’humanité, tout l’amour, toute la beauté, toute la poésie, toute la vérité, toute la justice, toute la liberté, tout l’avenir, tout le possible, tout l’impossible, tout le rêve, tout l’infini…

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