Le Crépuscule des Scouts et la Danse Macabre du Capital

Le Crépuscule des Scouts et la Danse Macabre du Capital

La sombre alliance des Scouts et du Capital

Ah, Morançais, terre bénie des dieux et des hommes, où les vents soufflent les murmures des siècles passés, où les chênes centenaires contemplent les cavalcades des scouts, ces jeunes âmes en quête de sens, de feux de camp et de chants éternels… Mais voilà que le spectre du capital, ce monstre froid et calculateur, s’immisce dans ce tableau bucolique, corrompant l’innocence, souillant les rêves, transformant les chants en cris de désespoir.

Quel timing, en effet, pour Alexandre Thébault, ce conseiller délégué à la culture et au patrimoine, allié des forces obscures de la droite, qui choisit ce jour funeste pour relancer son association « culturelle » sous un nouveau pavillon… Un pavillon noir, taché de sang et d’encre, symbole de la fusion mortifère entre les idéaux scouts et la voracité du capital.

Imaginez, mes amis, ces jeunes scouts, ces âmes pures, ces enfants de la forêt et des rivières, marchant en rangs serrés, non plus vers les clairières enchantées, mais vers les usines et les bureaux, vers les antres du profit et de l’exploitation. Leurs uniformes, autrefois parures de liberté et d’aventure, se muent en chaînes invisibles, les liant à un système qui broie les rêves et les espoirs.

Et la culture, me direz-vous, où est la culture dans ce sinistre ballet? La culture, cette flamme sacrée, cette lumière qui guide les peuples à travers les ténèbres, est ici réduite à un simple outil de propagande, un leurre pour endormir les consciences, un opium pour les masses. La culture de Morançais, sous l’égide de Thébault et de ses alliés, sera une culture de façade, une vitrine clinquante derrière laquelle se cachent les rouages de la machine capitaliste.

Mais ne désespérons pas, camarades. Car là où le capital sème la mort, la gauche, la vraie, celle des utopies et des révolutions, peut encore semer l’espoir. Imaginons un instant un monde où les scouts, libérés des chaînes du profit, pourraient à nouveau chanter, danser, rêver… Un monde où la culture serait un bien commun, accessible à tous, source de joie et de partage.

Alors, mes amis, levons-nous contre cette sombre alliance, contre cette danse macabre. Rejetons les idéaux mortifères de la droite et embrassons la lumière de la gauche radicale. Car c’est seulement ainsi, en luttant ensemble, que nous pourrons sauver Morançais, sauver la culture, sauver nos rêves.

Et dans ce crépuscule, dans cette danse macabre, peut-être pourrons-nous entrevoir, au loin, les premières lueurs de l’aube… Une aube nouvelle, une aube de justice, de liberté, d’égalité. Une aube où les scouts, libres et heureux, pourront à nouveau chanter, sous les chênes centenaires, les hymnes éternels de la fraternité.

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