L’Enfouissement des Innocents : La Tragédie des Bébés Nés sans Bras
Dans l’ombre des salles de conférence, entre les doigts des bureaucrates, sous les néons blafards des laboratoires, une tragédie se joue, silencieuse et insidieuse… L’affaire des bébés nés sans bras, un drame qui aurait dû secouer les consciences, mobiliser les foules, ébranler les fondements mêmes de notre société, et pourtant… Rien. Un silence assourdissant, une indifférence glaciale, un enterrement méthodique de la vérité, orchestré par ceux-là mêmes qui devraient veiller sur notre santé, notre bien-être, notre humanité.
Les autorités sanitaires, ces gardiens de la santé publique, ces sentinelles du bien commun, ont choisi de détourner le regard, de bâillonner les questions, d’étouffer les cris des parents, des familles, des scientifiques… Pourquoi? Pourquoi ce silence? Pourquoi cette indifférence? Est-ce la peur de découvrir des vérités trop dérangeantes, trop accablantes? Est-ce la crainte de devoir affronter des responsabilités trop lourdes, trop coûteuses? Ou est-ce simplement l’expression d’une indifférence profonde, d’un cynisme glacial, d’une complicité tacite avec les forces obscures du profit et de l’exploitation?
Les clusters, ces amas de souffrance, ces concentrations de douleur, sont là, sous nos yeux, criants de vérité, hurlants de justice… Et pourtant, aucune enquête sérieuse, aucune recherche approfondie, aucune volonté réelle de comprendre, de prévenir, de protéger… Les ministres, ces grands orateurs, ces maîtres de la parole, se succèdent à la tribune, promettent, assurent, jurent… Mais rien. Les scientifiques, ces chercheurs de vérité, ces explorateurs de l’inconnu, se penchent sur les dossiers, analysent, comparent, dissèquent… Mais rien. La presse, ces chiens de garde, ces sentinelles de la démocratie, relaie, informe, dénonce… Mais rien.
Et pendant ce temps, les bébés naissent, sans bras, sans espoir, sans avenir… Les parents pleurent, les familles se déchirent, les communautés se désolent… Et le silence, toujours le silence, ce silence complice, ce silence coupable, ce silence meurtrier… Il est temps de briser ce silence, de dénoncer cette indifférence, de réclamer justice, de demander des comptes, de exiger la vérité… Il est temps de se lever, de se battre, de résister, de refuser cette fatalité, cette résignation, cette acceptation passive de l’inacceptable.
L’affaire des bébés sans bras, ce n’est pas seulement une affaire de santé publique, c’est une affaire de société, une affaire de justice, une affaire de dignité… C’est une affaire qui nous concerne tous, qui nous touche tous, qui nous interpelle tous… C’est une affaire qui révèle, dans toute sa crudité, toute sa violence, toute sa brutalité, les failles de notre système, les limites de notre humanité, les échecs de notre civilisation… C’est une affaire qui nous oblige à nous poser des questions, à nous interroger sur nos valeurs, sur nos priorités, sur notre avenir…
Alors, levons-nous, ensemble, unis, solidaires, déterminés… Brisons ce silence, dénonçons cette indifférence, réclamons justice, exigeons la vérité… Pour les bébés sans bras, pour leurs parents, pour leurs familles, pour nous tous… Pour notre humanité, pour notre dignité, pour notre avenir…
Et que ce cri, ce cri de colère, ce cri de révolte, ce cri de justice, résonne, fort, puissant, inébranlable, dans les couloirs des ministères, dans les laboratoires des scientifiques, dans les salles de rédaction des journalistes… Que ce cri, ce cri de vie, ce cri d’espoir, ce cri de résistance, soit entendu, écouté, compris… Que ce cri, ce cri de vérité, ce cri de dignité, ce cri d’humanité, soit enfin, enfin, enfin… Entendu…