L’Insoumission Perpétuelle : Rachel Keke, du Parlement aux Barricades

L’Insoumission Perpétuelle : Rachel Keke, du Parlement aux Barricades

une femme de chambre devenue deputee luttant dans les rues

Dans le tumulte des corridors de l’Assemblée nationale, elle avait émergé, Rachel Keke, femme de chambre devenue députée, portant en elle les espoirs des oubliés, des invisibles, des sans-voix. Une silhouette frêle, mais une détermination de fer, forgée dans les méandres des hôtels luxueux où elle avait travaillé, là où les ombres des puissants se croisent sans jamais les voir, sans jamais les entendre. Elle avait apporté avec elle, dans ces couloirs dorés, l’odeur des produits ménagers, la fatigue des petits matins, la révolte des fins de mois difficiles. Et puis, la dissolution, la chute, le retour à la terre, à la réalité crue, mais jamais le silence, jamais l’abandon.

La déception passée, elle s’est relevée, Rachel Keke, comme on se relève après une tempête, les vêtements trempés, le cœur battant, mais les yeux toujours fixés sur l’horizon. Elle a repris le combat, non plus sur les bancs de l’Assemblée, mais dans les rues, sur les places, là où la vie bat son plein, là où les cris de colère résonnent plus fort que les discours creux des politiciens. Elle a retrouvé ses racines, ses compagnons de lutte, ceux qui n’ont jamais cessé de croire en un monde meilleur, en une société plus juste, en une humanité plus solidaire.

Elle continue de lutter, Rachel Keke, contre l’injustice, contre l’indifférence, contre l’oppression. Elle lutte avec la force des convictions, avec la passion des idéaux, avec la rage des désespérés. Elle lutte pour que chaque femme, chaque homme, puisse vivre dignement, sans craindre le lendemain, sans redouter la fin du mois. Elle lutte pour que les droits des travailleurs soient respectés, pour que les inégalités soient combattues, pour que la solidarité soit plus qu’un mot, plus qu’un slogan, mais une réalité vécue, palpable, tangible.

Et elle n’oublie pas la politique, Rachel Keke, car la politique, c’est la vie, c’est le quotidien, c’est le combat de tous les jours. Elle n’oublie pas que la politique, c’est aussi la lutte contre les idées de droite, contre ceux qui prônent l’individualisme, l’égoïsme, la compétition. Elle n’oublie pas que la politique, c’est la quête d’un monde plus juste, plus égalitaire, plus fraternel. Elle n’oublie pas que la politique, c’est l’espoir, l’espoir d’un avenir meilleur, d’un avenir où chacun pourra vivre en paix, en harmonie, en liberté.

Alors, elle continue, Rachel Keke, à marcher, à crier, à lutter. Elle continue à semer les graines de la révolte, à réveiller les consciences, à éveiller les esprits. Elle continue à être cette voix qui dérange, cette présence qui interpelle, cette force qui ne se laisse pas abattre. Elle continue à être cette femme de chambre devenue députée, cette révoltée qui ne baisse jamais les bras, cette insoumise qui continue de rêver, de croire, de lutter, pour un monde meilleur, pour un avenir plus juste, pour une humanité plus solidaire.

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