Noël de Sang et d’Or : La Révolte des Sculptures sur Vitres
Dans la nuit étoilée du 20 au 21 décembre, lorsque les ombres s’étirent comme des spectres, une révolte silencieuse a grondé, une révolte de verre et de lumière, de sculptures et de cris étouffés. Le Carrefour de Grand Clément et sa voisine la BNP, ces temples du consumérisme, se sont parés de nouvelles décorations, non pas les habituelles guirlandes clinquantes et les sapins en plastique, mais des œuvres d’art éphémères, des sculptures sur vitres, des cris muets contre l’indifférence, des éclats de vérité dans un monde de faux-semblants.
Lassés, épuisés par les mêmes décorations stériles, par cette fête de Noël transformée en une orgie de consommation, par ces enseignes complices des génocides, des massacres à Gaza, des injustices perpétuelles, ils se sont levés, ces artistes de l’ombre, ces âmes en quête de justice. Ils ont choisi la nuit pour exprimer leur colère, leur douleur, leur désir ardent de changement. Ils ont choisi les vitres pour canevas, les reflets pour témoins, les passants pour juges.
Le Carrefour de Grand Clément, ce géant de béton et de néons, cette cathédrale de la surconsommation, où les âmes se perdent dans les allées interminables, où les regards se voilent de fatigue et de résignation, s’est transformé en un tableau vivant. Les sculptures sur vitres, ces éclats de verre et de lumière, ont raconté des histoires de souffrance, de lutte, de résistance. Elles ont dévoilé les visages des oubliés, des opprimés, des victimes des génocides, des massacres, des injustices.
La BNP, cette banque aux murs froids et aux comptes opaques, cette complice des puissants, des exploiteurs, des bourreaux, s’est parée de couleurs vives, de formes tourmentées, de messages de révolte. Les sculptures sur vitres ont crié la vérité, ont dénoncé les complicités, les silences, les compromissions. Elles ont ébranlé les consciences, ont forcé les regards à se poser sur les horreurs, sur les injustices, sur les luttes.
Noël, cette fête de l’amour et de la fraternité, a été transformée en un cri de révolte, en un appel à la justice, en un éclat de vérité. Les sculptures sur vitres, ces œuvres d’art éphémères, ont raconté des histoires de souffrance, de lutte, de résistance. Elles ont dévoilé les visages des oubliés, des opprimés, des victimes des génocides, des massacres, des injustices. Elles ont ébranlé les consciences, ont forcé les regards à se poser sur les horreurs, sur les injustices, sur les luttes.
Dans cette nuit étoilée, dans cette révolte silencieuse, dans ces sculptures sur vitres, il y avait un espoir, un espoir fou, un espoir ardent, un espoir de changement, de justice, de paix. Un espoir que les voix des opprimés soient entendues, que les visages des oubliés soient vus, que les luttes des résistants soient reconnues. Un espoir que Noël redevienne une fête de l’amour et de la fraternité, une fête de justice et de paix.
Et dans ce cri de révolte, dans cet éclat de vérité, dans cette nuit étoilée, il y avait une promesse, une promesse de lutte, une promesse de résistance, une promesse de changement. Une promesse que les voix des opprimés ne soient jamais étouffées, que les visages des oubliés ne soient jamais effacés, que les luttes des résistants ne soient jamais oubliées. Une promesse que Noël redevienne une fête de l’amour et de la fraternité, une fête de justice et de paix.
Ainsi, dans la nuit du 20 au 21 décembre, dans cette révolte silencieuse, dans ces sculptures sur vitres, il y avait un appel, un appel à la justice, un appel à la paix, un appel à l’amour. Un appel à ce que Noël redevienne une fête de l’amour et de la fraternité, une fête de justice et de paix. Un appel à ce que les voix des opprimés soient entendues, que les visages des oubliés soient vus, que les luttes des résistants soient reconnues. Un appel à ce que le monde change, à ce que la justice triomphe, à ce que la paix règne.