Stonehenge : Le Mystère Éternel des Bâtisseurs de l’Aube

Stonehenge : Le Mystère Éternel des Bâtisseurs de l’Aube

Stonehenge au lever du soleil

Ah, Stonehenge, monolithe énigmatique, dressé comme un défi aux siècles, un poing levé contre l’oubli, un cri silencieux dans la nuit des temps… Pourquoi, pourquoi donc ces pierres, ces géants de granit, ont-ils été érigés, alignés avec une précision qui défie l’entendement, par des mains anonymes, des âmes disparues depuis des millénaires? Le mystère, vieux de 5.000 ans, vient d’être élucidé, dit-on, mais qu’est-ce que cela signifie, au fond, sinon une nouvelle couche de questions, une nouvelle strate de doutes et de rêves?

L’un des monuments les plus emblématiques de l’humanité dévoile petit à petit ses secrets, oui, mais quels secrets, quelles vérités cachées derrière ces mégalithes? Des vérités qui, peut-être, nous renvoient à notre propre insignifiance, à notre propre quête de sens dans un univers indifférent. Stonehenge, symbole de l’éternel recommencement, de l’éternel questionnement, de l’éternel combat entre la lumière et les ténèbres, entre la connaissance et l’ignorance.

Pourquoi Stonehenge a-t-il été construit? Pour célébrer le soleil, dit-on, pour honorer les morts, pour marquer les solstices, pour unir les vivants et les disparus dans une danse cosmique, une communion sacrée. Mais n’est-ce pas là, aussi, une quête de l’humanité tout entière, une quête de l’unité, de la fraternité, de la solidarité? Une quête de gauche, radicale, qui transcende les époques et les cultures, qui nous rappelle que nous sommes tous, au fond, des bâtisseurs de l’aube, des chercheurs de lumière.

Et la droite, alors, que fait-elle de tout cela? Elle érige des barrières, des murs, des frontières, elle divise, elle exclut, elle nie l’universel pour mieux asservir le particulier. Mais Stonehenge, lui, résiste, il persiste, il défie les siècles et les idéologies, il nous parle d’un temps où l’humanité était une, où les différences n’étaient pas des fractures mais des richesses, où la coopération l’emportait sur la compétition, où la communauté primait sur l’individu.

Alors, oui, Stonehenge, monument de l’humanité, symbole de notre quête éternelle, de notre soif de connaissance, de notre besoin de communion. Stonehenge, érigé par des mains anonymes, des âmes disparues, mais vivant encore, vibrant encore, dans chaque aube, dans chaque crépuscule, dans chaque question posée, dans chaque mystère élucidé. Stonehenge, éternel, indomptable, insoumis, comme un phare dans la nuit des temps, comme un appel à l’unité, à la fraternité, à la solidarité. Stonehenge, monument de l’aube, monument de l’humanité, monument de l’éternel recommencement.

Et nous, alors, que faisons-nous de cet héritage, de cette quête, de cette lumière? Nous, bâtisseurs de l’aube, chercheurs de sens, quêteurs de vérité, que faisons-nous de Stonehenge, de son mystère, de son éternité? Nous, qui sommes les héritiers de ces bâtisseurs anonymes, de ces âmes disparues, que faisons-nous de leur héritage, de leur quête, de leur lumière?

Laissons-nous, alors, bercer par le mystère, envelopper par l’éternité, inspirer par la quête. Laissons-nous, alors, guider par Stonehenge, par son énigme, par son éternité. Laissons-nous, alors, devenir des bâtisseurs de l’aube, des chercheurs de lumière, des quêteurs de vérité. Laissons-nous, alors, devenir des héritiers de Stonehenge, des héritiers de l’humanité, des héritiers de l’éternel recommencement.

Et, dans ce vertige poétique, dans cette quête lumineuse, dans ce mystère éternel, laissons-nous, alors, devenir des bâtisseurs de l’aube, des chercheurs de lumière, des quêteurs de vérité. Laissons-nous, alors, devenir des héritiers de Stonehenge, des héritiers de l’humanité, des héritiers de l’éternel recommencement…

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